Saint Pierre HEU-REUX
mercredi, décembre 20, 2006
lundi, novembre 27, 2006
Fleurs, femmes, temps...
Tandis qu'ici, à Paris, les feuilles mortes ne se ramassent pas à la pelle, mais s'amassent en paquets dans les caniveaux, ou volètent sur le trottoir, à part celles mouillées et collées qu'on n'arrive pas à balayer... et bien je n'arrête pas de repenser à toutes celles et ceux... et bien à vous, quoi... surtout à vous les filles, les fleurs (tiens je me ferais bien jardinier... ou botaniste) à qui je n'ai pas assez dis combien j'ai aimé tout ce temps précieux avec vous, bouquet d'émotions fulgurantes ou en demi-teintes, de créativités, de discussions, d'écoutes... rires, sourires, affections, pleurs, joies...
Gynécée tropical où éclorent les individualités vivantes...
Merci, pour votre temps, vos façons d'être, et encore vos sourires.
Et, pour tout vous dire, je suis tombé dans un trou. Non, pas tombé, mais monté. Je suis monté dans un trou. C'était une ascension. Trou du temps suspendu. Et j'ai trouvé la porte du temps. Au Blue Cat, où, avec l'aide de breuvages et de zamalalatêt, j'ai perdu toute notion du temps. Surtout de l'espace. Où suis-je? Dans quelle étagère? Quelle heure est-il? Où ais-je garé ma mobylette? mais ne suis-je pas venu en voiture? en avion? ou tout simplement à pied?...
Je regarde chacun de vos visages. Et y mêlent l'impression que j'ai de vos personnalités. Mais sommes-nous ce que nous paraissons être? (oh la prise de tête!!). Bon, il y a sûrement un chemin pour aller au coeur, dont l'entrée est sur le visage...
Allez! Photos!!!
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mardi, novembre 21, 2006
lundi, novembre 20, 2006
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mercredi, novembre 08, 2006
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dimanche, novembre 05, 2006
vendredi, novembre 03, 2006
Passage par la porte du temps
La nuit, en sortant du Blue Cat, les filles expliquent à Pierre, ivre mort, le chemin pour retourner chez sa cousine Alexandra, en montrant du doigt le coin de la rue où il doit tourner, juste avant qu'elles montent dans leur voiture :
– bon, ben! Pierre, on te dépose?
— Non, non, c'est où déjà?
— t'es juste à côté...
— ?!!!
— Oui là, tu tournes la première à gauche, et c'est juste là...
— oui (*...°@!!!", hips! '**-!!!...)... ah ok, c'est bon...
— t'es sûr? ça va aller Pierre? hein?...
— ouais ouais, mmh mmhh, c'est bon... salut!
— Salut!!
Et là, plus il marche, plus la ville se liquéfie sous ses pieds, et le retour se fait long, mais... mais! pourquoi elle monte comme ça la rue?...
*...#!!!",ôh.*.. hips! *@'*-!!!...°°...