Saint Pierre HEU-REUX

lundi, novembre 27, 2006

Fleurs, femmes, temps...

Tandis qu'ici, à Paris, les feuilles mortes ne se ramassent pas à la pelle, mais s'amassent en paquets dans les caniveaux, ou volètent sur le trottoir, à part celles mouillées et collées qu'on n'arrive pas à balayer... et bien je n'arrête pas de repenser à toutes celles et ceux... et bien à vous, quoi... surtout à vous les filles, les fleurs (tiens je me ferais bien jardinier... ou botaniste) à qui je n'ai pas assez dis combien j'ai aimé tout ce temps précieux avec vous, bouquet d'émotions fulgurantes ou en demi-teintes, de créativités, de discussions, d'écoutes... rires, sourires, affections, pleurs, joies...
Gynécée tropical où éclorent les individualités vivantes...
Merci, pour votre temps, vos façons d'être, et encore vos sourires.
Et, pour tout vous dire, je suis tombé dans un trou. Non, pas tombé, mais monté. Je suis monté dans un trou. C'était une ascension. Trou du temps suspendu. Et j'ai trouvé la porte du temps. Au Blue Cat, où, avec l'aide de breuvages et de zamalalatêt, j'ai perdu toute notion du temps. Surtout de l'espace. Où suis-je? Dans quelle étagère? Quelle heure est-il? Où ais-je garé ma mobylette? mais ne suis-je pas venu en voiture? en avion? ou tout simplement à pied?...
Je regarde chacun de vos visages. Et y mêlent l'impression que j'ai de vos personnalités. Mais sommes-nous ce que nous paraissons être? (oh la prise de tête!!). Bon, il y a sûrement un chemin pour aller au coeur, dont l'entrée est sur le visage...
Allez! Photos!!!
[ Cliquez dessus pour les agrandir... et désolé pour ceux qui ne sont pas en photo...]